Résumé :
L’action se déroule à Paris, au pied de la tour Eiffel très exactement, et couvre une année. Ce livre raconte la rencontre puis les frictions, la tendresse, l’amitié, les coups de gueule, les réconciliations et tout le reste encore, tout ce qui se passe entre quatre personnes vivant sous un même toit. Quatre personnes qui n’avaient rien en commun au départ et qui n’auraient jamais dû se rencontrer. Un aristocrate bègue, une jeune femme épuisée, une vieille mémé têtue et un cuisinier grossier. Tous sont pleins de bleus, pleins de bosses et tous ont un cœur gros comme ça (non, plus gros encore !)…
C’est la théorie des dominos à l’envers. Ces quatre-là s’appuient les uns sur les autres mais au lieu de se faire tomber, ils se relèvent. On appelle ça l’amour.
On en parle :
Elle revient avec un gros roman de 600 pages. Léger comme une nouvelle, lourd comme notre chagrin. Chaud comme l’amour. 600 pages de bonheur, vous hésitez ? On ne va pas tout vous raconter : la solitude, la tristesse, le désespoir, mais aussi la chaleur, les fous rires et les larmes. C’est un roman d’amour. Et l’amour que contient ce livre, qui le conclut aussi, est le plus beau sentiment qui soit. Grand, vaste, frais. Inattendu aussi. Il y a dans cette histoire quelque chose qui dit notre monde, ce qu’il pourrait être. […] Quand chacun accouche de sa vie, épuise ses douleurs, quand des vies brisées se reconstituent, on est – bêtement – heureux.
Christian Sauvage, Le Journal du Dimanche, 21 mars 2004.
Anna Gavalda est une chic fille et un grand écrivain. […] En 604 pages, on sourit, on a le cœur serré, brisé même, on rit carrément. C’est du miel.
Olivia de Lamberterie, Elle.
Il était une fée. C’est cela la force d’Anna Gavalda : croire aux miracles du possible, aux vertus cardinales de la gentillesse, de la bienveillance, de l’humour et de l’effronterie. Avec son écriture limpide, ses mots qui ont le cœur sur la main, ses dialogues qui sautillent, elle sait introduire la magie dans des existences minuscules.
Laurence Halloche, Le Figaro Magazine.
Un miracle d’équilibre entre les sentiments évoqués et les mots pour le dire. […] Un roman admirable, qui fait aimer la vie. Et tous les humains, nos frères.
Jean-Rémy Barland, Lire.
"Gavalda est une romancière immense parce qu’elle entre dans la tête de ses personnages et les laisse parler."
F.B., Voici
"Gavalda a plein de qualités : elle écrit des dialogues très justes, elle est d’aujourd’hui sans être vulgaire, elle sait capter la vie en mouvement : c’est une portraitiste délicate."
J.G., Le Nouvel Observateur
"Le roman des cœurs simples. Mise en scène simple et imparable de quatre personnages blessés par la vie qui vont apprendre à s’aimer."
C.A., L’Opinion Indépendante
À l’Étranger : Ensemble, c’est tout est bien sûr un conte. Mais qui n’a rien de ces interminables contes hollywoodiens qui ne consolent que momentanément pour infliger ensuite une déception encore plus grande. Non, Gavalda a écrit un vrai conte magique plein de sagesse et de bonté. Qui nous dit que même la personne la plus marginale, la plus bizarre, la plus inapte à la vie devient forte si on l’aime et l’accepte. Qui nous dit qu’au fond peu importe que l’on soit femme de ménage ou peintre de génie, vendeur de cartes postales ou un grand savant. L’important c’est d’être ensemble. Et tout le reste viendra avec, comme dans ce roman. Ou ne viendra pas, comme dans la vie. Mais tout cela n’a plus aucune importance.
Maria Tereschenko, Gazeta (Moscou).
"Le bonheur dans le viseur : Anna Gavalda mesure le pouls de l’être. Comme son héroïne, Anna Gavalda s’attaque aux détails délicats du quotidien et montre comment on peut créer de la confiance par la voie d’une franchise impitoyable et ainsi échapper à la solitude. […] Le narrateur méprise le regard limité de la bourgeoisie à succès, la politique de non-ingérence d’une classe saturée qui fait de ses enfants des fumistes sociaux. Gavalda ne recule pas devant les clichés quand il s’agit de fêter la résurrection des compétences sociales."
I.H., Frankfürter Allgemeine Zeitung
"Ce roman est un peu comme Le fabuleux destin d’Amélie Poulain – mais encore plus beau. Anna Gavalda raconte d’une manière si frap pante, si fine, si désinvolte et si drôle que l’on finit les 550 pages trop vite et ne veut pas encore lâcher ce livre."
A.W., Brigitte
"Anna Gavalda, la jeune écrivaine francaise, que tout le monde connaît grâce à ses deux premiers livres, reste fidèle à son propre univers sentimental et confirme son talent de narratrice douée d’une profonde sensibilité."
D. di Repubblica
"La poésie des faibles. Les 600 pages se dévorent d’une traite.?Et c’est la gorge serrée que le lecteur est contraint de quitter les personnages du roman."
L.L., La Tribune de Genève