Résumé :
Les meilleures intentions du monde ont quelquefois des conséquences tragiques. Les Capouilles, seuls pauvres authentiques de la petite ville, vont pâtir des bienfaits dont les comblent les autres habitants, lesquels ne comprendront pas à temps que ce n’est pas parce qu’on n’a rien qu’on n’a rien à cacher.
On en parle :
Un style éblouissant, une verve à la Marcel Aymé, une fable truculente et mélancolique: bravo!
Marie Delanglez, Librairie La Procure-Largeron.
Dans ce roman jubilatoire le lecteur a rendez-vous avec l’humour, la démesure, le mystère et la poésie. L’auteur médite sur le bonheur et le pouvoir de catharsis de la poésie et soulève la question:" Peut-on bien vivre sans poésie? "
Nadine Doyen, Traversées.
Pour lire l’article sur Franz Bartelt, écrit par Jean-Louis Ezine dans le Nouvel Observateur, cliquez sur le lien ci-dessous:
Le Nouvel Obs
Il y a tout à la fois du Marcel Aymé, du La Fontaine et du Swift en lui. Il y a surtout du Bartelt, un styliste savoureux, un prosateur sans exemple dans le paysage contemporain, ce que montre à l’envi (…) La Belle Maison. (…) Et nous qui pensions qu’au-dessus du grandiose il n’y avait plus rien. Pardon, il y a Bartelt.
Jean-Louis Ézine, Le Nouvel Observateur, avril 2008.
Franz Bartelt réussit une jolie fable libertaire, bouffonne, mélancolique et sympathique. Dans la même veine burlesque, on trouve aussi, chez le même éditeur, Les Nœuds, saga de la famille Porquet, fabricants de cordes à nœuds.
Isabelle Rüf, Le Temps, février 2008.
Il y a un peu de Clochemerle de Gabriel Chevallier dans ce roman tordant. Les personnages forment une communauté haute en couleurs. Madame Balbe et son hypocondrie, le Josse, tenancier de La Gurlette, qui se trouve toujours sur le chemin du Consien moyen, l’épicerie du père Chéchème dans laquelle, on vend à la louche et à la boule… Le décor est savamment planté pour ces chroniques villageoises truculentes. Un vrai régal.
Alexandra Morardet, Arte-tv.com, mars 2008.
Comme toujours chez Franz Bartelt, l’histoire n’est qu’un prétexte pour filer la musique des mots sans quoi le monde n’existerait pas. Avec des phrases précises, ce constat indulgent et pataphysicien de la médiocrité humaine passe par un humour phénoménal qui n’est rien d’autre qu’une attitude philosophique devant la tragédie de la vie, de la mort et de la souffrance.
Anne-Marie Koenig, Le Magazine Littéraire, mars 2008.
Lisez l’avis du Biblioblog.
L’enfer est pavé de bonnes intentions… (…) Drôle, noir et politiquement incorrect.
Astrid Éliard, Point de vue, février 2008.
Écrivain atypique à l’inspiration fantaisiste, styliste impeccable, Franz Bartelt est, lui aussi, infiniment respecté par la critique, et soutenu, depuis ses débuts, par les libraires, à qui il rend grâce.
Jean-Claude Perrier, Livres-Hebdo, " Avant-portrait ", février 2008.
L’auteur de quelque part – après il ne sait pas lui-même combien de publications par-ci, par-là – s’invite aux éditions Le Dilettante. Dilettante ? le mot lui va à ravir, lui qui ne fait que bosser. Traduisez : écrire. (…) A découvrir, le 1er février en librairie, deux titres (tant qu’à faire !), La Belle Maison et Les Nœuds. Du Bartelt tout cru, tout farfelu.
Martine Laval, telerama.fr, janvier 2008.