On en parle :
La fraîcheur et la maîtrise de" La machine à écrire " sont surpenantes. Le rythme est soutenu sans que l’épaisseur des personnages, des situations et l’élégance du style en pâtissent.
Christian Authier, L’Opinion Indépendante.
Imagination, verve, humour dévastateur, cette satire du monde littéraire est un véritable régal.
Le Figaro.
Voilà donc un premier roman fort réjouissant qui se lit avec beaucoup de plaisir. Bruno Tessarech maîtrise d’emblée la construction narrative. Jamais on ne le sent dépassé par son récit. (…)" La machine à écrire "est l’exemple même du livre réussi, c’est-à-dire d’une écriture mise en accord avec les ambitions du récit et qui ne cherche pas à viser plus haut que le projet l’exige, bref une écriture qui vise juste.
Le Généraliste.
La réussite de son livre tient à la modestie de son propos, à son écriture simple, classique, avec une légère tendance à tourner l’aphorisme. (…) Premier roman qui donne envie d’en savoir plus à son sujet.
Alfred Eibel, Valeurs Actuelles.
Ce premier livre est un bonheur de lecture plein d’humour et de pertinence.
Pierre Vavasseur, Le Parisien.
On admirera donc Bruno Tessarech d’avoir écrit, à 47 ans, son premier roman (une sotie, plutôt) pour parvenir à cette conclusion désabusée, et d’avoir usé, avec une prometteuse perversité, d’une prose sobre, efficace, impersonnelle, une prose de nègre, en somme, qu’il a su mettre, pour une fois et notre bonheur, à son service.
Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.
Ce premier roman n’est pas seulement prometteur, il est déjà parfaitement maîtrisé, limpide et drôle. On se laisse emporter par cette fable brillante sur le métier d’écrivain qui confronte ceux qui ne pensent avoir des choses à dire sans savoir les écrire et celui qui sait écrire sans savoir quoi dire. Une réussite.
F.G., La République des Pyrénées.
Bruno Tessarech, cela arrive parfois aux premiers romans, a transformé son coup d’essai en coup de maître. Il fait bouger une multitude de personnages avec une aisance surprenante, tient ses deux cents pages d’une écriture merveilleusement fluide et, sans avoir l’air d’y toucher, nous amène à une vision de la création littéraire des plus surprenantes.
Jérôme Leroy, La Revue des deux mondes.