La Voie Marion

Découvertes

ISBN: 978-2-84263-635-7

Genre: Premier roman

Date de parution: 25/08/2010

Nombre de pages: 160

Couverture : Marilou Laure

Prix: 15€

Exemplaire du tirage de tête: 60€

La Voie Marion

Découvertes

Marion a réalisé son rêve : elle a ouvert sa librairie, bien à elle, au cœur du Chamonix de ses vacances de petite fille. Elle croit à la promesse d'une vie heureuse, avec son guide de mari. Au fil du temps, pourtant, le ciel s'assombrit au-dessus des neiges éternelles. Et encore... elle ne sait pas ce que le passé lui réserve.

Résumé :

Marion, fille d’Annecy, parents dignes et coudes au corps, ouvre à Chamonix une librairie, plaisir et défi tout à la fois. Un jour, dans la porte, s’encadre Pierre, géant de granit rose, colosse timide qui peu à peu l’entraîne dans ce qui lui sert d’élément et d’horizon : la montagne. La montagne est la vraie langue dans laquelle s’exprime Pierre à coups de piolets, à force de pitons, d’encordements ; taillant, dans la masse impavide des sommets, voies et parcours. Une fée vorace qui lui a également pris son père, disparu au fil d’une course. Peu à peu, Marion s’initie par lui à la discipline pratique du périple montagnard. À la cordée succède le lien amoureux. Mais l’enfant qui doit marquer cette victoire, cet accès au bonheur, se fait attendre. Au roman-fleuve, ample, lent, charriant masse énorme de faits, de figures, répond ce récit-glacier : court, ténu, brûlant comme la glace, inexorable en son avancée fatale. La Voie Marion ou les neiges éternelles n’existent pas.

On en parle :

Rencontre littéraire avec Jean-Philippe Mégnin
A l’occasion de la sortie de son premier livre, La voie Marion, aux éditions Le Dilettante, Jean-Philippe Mégnin était présent à la Fnac Dijon le 15 janvier 2011. 

Voici une histoire d’amour poétique et rafraîchissante.
Librairie de la Lettre @ la Bulle, Saintes

A propos de La Voie Marion – Jean-Philippe Mégnin –
Marion a suivi son idée jusqu’au bout : elle vient enfin d’ouvrir une librairie à Chamonix et vit dans le châlet de…
Les livres de L’Arrajou
, novembre 2010

Gros coup de coeur – A propos de La Voie Marion – Jean-Philippe Mégnin –
Le blog de l’or des chambres novembre 2010

Jean-Philippe Mégnin, invité d’Alain Veinstein sur France Culture dans l’émission Du Jour au lendemain le jeudi 18 novembre 2010.

C’est léger, joyeux, drôle, enivrant à lire comme un amour naissant. D’ailleurs, ce livre donne envie de retomber amoureux, de revivre ces moments où tout semble être en apesanteur (…) De la poésie et de l’humour. A lire. C’est un coup de coeur "
Les coups de cœur de Géraldine octobre 2010

"C’était le visage dans lequel j’avais cru."
Le style est rapide, vif, fruit d’un esprit rapide et solitaire qui ne se donne pas comme ça. (…) Mégnin signe un court récit très surprenant. On dit en montagne que les neiges éternelles un jour descendent dans la vallée.Il donne sans doute une nouvelle légende, un nouveau nom à un de ces paysages de montagne aux noms mystérieux.
Journal d’un libraire,
16/10/2010

Léger, drôle, efficace, enivrant comme les sommets, ce nouveau roman nous donne une furieuse envie de s’évader en haute montagne et d’y trouver l’amour (…) Un style simple en apparence, mais très travaillé, employant des temps verbaux rarement utilisés dans le récit d’aujourd’hui. Jean-Philippe a un style rapide, efficace, poétique.
Roger Badois, La Voix du Jura, 30 sept/6 oct 2010

Jean-Philippe Mégnin a fait le pari de la simplicité pour mener à bien, c’est à dire mettre à mal, l’histoire de ce couple qui dérive comme un morceau détaché de la banquise. Les montagnards qui, on le sait, sont incollabales sur les encordements goûteront entre tous ce roman en forme de nœud coulant.
Anthony Dufraisse, Le Matricule des Anges, oct 2010

" Premier de cordée "de Frison-Roche +" Une histoire simple "de Claude Sautet =" La Voie Marion "de Jean-Philippe Mégnin

Résultat de ce mariage un peu contre nature entre l’écrivain des grands frissons et le cinéaste du quotidien: un très joli roman sur les intermittences du cœur.
Pascale Frey, Elle, 8 octobre 2010

A priori, c’est une histoire d’amour: Pierre, guide de montagne rencontre Marion, la nouvelle libraire de la ville. A posteriori, c’est une autre histoire. Un auteur à suivre…
Nadine Pineur, Gael, octobre 2010

Un roman très délicat dépassant le genre du récit de montagne pour nous parler des bizarreries de l’amour , je cite : "On a beau dire, les amoureux, c’est n’importe quoi, mais qu’est que c’est bien…"
Jean-Louis Ézine, Le Nouvel Observateur, 26 octobre 2010, Le Masque et la Plume, France Inter

Beau. Simple. Bouleversant et imprévisible.
Christine Piette, Librairie Point-virgule, Montluçon

Pour les amateurs de belle plume,  attention, cette maison d’édition est un véritable dénicheur de talents. On nous raconte une histoire à un moment donné sans refaire le monde ; simple mais bon.
Julie Duquesne, La Gazette de Besançon n°21, 21/09/2010

Les neiges éternelles sous la plume de Mégnin
Avec La Voie Marion, Jean-Philippe Mégnin est l’une des découvertes de la rentrée (…) Un court roman très réussi (…) Les classiques de la littérature alpine appartiennent aux décors de ce roman qui nous transporte pourtant d’avantage dans l’univers des films de Claude Sautet que dans celui de Frison-Roche (…) Le Livre refermé, nous restons sous le charme. 
Samuel Cordier, Le Progrès, 25 septembre 2010

Chemins escarpés de montagne
Marion acceptant d’apprendre à maîtriser des voies escarpées, Pierre s’intéressant aux livres, au moins dans un premier temps. Car les passions individuelles ne se partagent jamais vraiment. 
Pierre Maury, Le Soir, 24 septembre 2010

Coup de cœur pour ce récit au féminin…Avec une vraie économie de mots, l’auteur parvient à nous troubler avec des émotions justes et contenues. Un beau roman sur une passion amoureuse et montagnarde.
Olivier Thévenet, Alpes Magazine, 15 septembre 2010. 

De livres en sommets, Marion tombe amoureuse. Elle va y croire, très fort, si fort qu’elle dit "oui" pour le meilleur et pour le pire. Et puis, la vie continue, épuisante, avec son immuable ordre des choses : après le mariage, pourquoi pas un enfant ? "Cet enfant qui n’est jamais venu." Face à cet échec, Marion "se voile", s’éteint, tandis qu’à coté d’elle Pierre n’est plus qu’une ombre tout juste familière, bientôt étrangère. "On s’est débrouillé comme on a pu." Les mots sont durs.
Sophie Herber, 21 septembre 2010

Ce premier roman de Jean-Philippe Mégnin est écrit sur un mode délicat, plein d’émotion, de finesse, de pudeur et de romantisme. Court et fluide, il se descend d’une traite, laissant un petit goût un peu amer dans la bouche.
Florence Pitard, Ouest-France, 19 septembre 2010

Jean-Philippe Mégnin parvient à nous faire croire et aimer ce couple plutôt banal, qui, sans fièvre ni effusion, sans coup de sang et sans exaltation, ose s’aimer, vivre ensemble et se désunir. Et ce sans bruit, sans éclat, de la manière la plus belle mais aussi la plus dramatique : avec douceur, presque de la plénitude.
par Jean-Francois Lahorgue, Benzine Magazine

Voici un premier roman construit en deux phases, une première pleine de fraîcheur et de légèreté puis une seconde plus sombre et plus touchante. Jean-Philippe Mégnin dresse un beau portrait de femme dans ce court roman très prenant et surprenant. Il séduira entre autres les passionnés de montagne.
Stéphanie Mezouan, Librairie Les Buveurs d’encre

Court, ce petit livre est une jolie révélation de la rentrée. Une écriture sobre, emplie de sentiments qui apparaissent simplement effleurés mais qui n’en sont pas moins intenses, une description de la montagne qui ravira les passionnés et fera rêver les autres. Un beau moment de lecture.
Catherine Demontpion,  Librairie Pages d’écriture

Ecrit à petites touches, à mots à peine dévoilés, ce court texte est dense et bouleversant.
Christian Robin, Le Courrier français, 3 septembre 2010. 

Une liaison amoureuse qui progressivement va se déliter. (…) Dès le début, on est pris par ce roman écrit en phrases courtes, bien ciselées avec des émotions relatées avec beaucoup de délicatesse.
La Voix du jura, 2/8 septembre 2010

Trois personnages : Marion, jeune libraire qui se lance dans le projet de sa vie, l’achat d’une librairie à Chamonix ; Pierre, guide de Haute-Montagne local ; et surtout la montagne, toujours présente, tour à tour amie et ennemie de l’homme. (…) La Voie Marion est un roman rempli de moments de plaisir : plaisir dans la description des courses en montagne et du milieu des guides, plaisir dans la sérénité qui s’installe peu à peu entre ces deux êtres. (…) Un roman touchant et grave à la fois donc.
Michel Pierre, Parutions.com, 6 septembre 2010

Marion aime les livres et la montagne. Elle ouvre une librairie à Chamonix ainsi qu’une nouvelle page de sa vie en tombant amoureuse d’un guide. Tomber, le mot n’a rien d’anodin en altitude. Elle tombera donc de haut quand le passé la rattrapera…
Alphone Guillaume, Modes et Travaux, octobre 2010

On a beau dire, les amoureux, c’est n’importe quoi, mais qu’est-ce que c’est bien  ": touchante de simplicité, de sincérité, cette phrase conclut la belle séquence du bref et pathétique roman de Jean-Philippe Mégnin (…) Un récit aux tonalités justes," brûlant comme la glace" , dont la narratrice nous fait découvrir une à une les zones d’ombre. Par sa voix, on assiste à l’ "érosion silencieuse "d’un couple. Texte de poète, jugez-en :" Ce qui me fascinait le plus comme la lampe du jardin attire le papillon de nuit, c’étaient les grandes neiges d’altitude, les pentes lascives qui mènent aux cols, les arêtes dessinées comme un corps de femme qui filent dans un ciel d’indigo" .
Francis Matthys, La Libre Belgique, 6 septembre 2010

Alors, je préserve mes déserts, ou je me laisse emmener?” : c’est la question que se pose une jeune libraire de Chamonix quand Pierre, guide de haute montagne, pousse la porte de son échoppe. Marion est sous le charme. Pierre l’entraîne bientôt dans son “délire de neige” où elle ne voit que “du blanc et du vide, un vide.”. Ils se marient et la vie s’installe, “doucement”. Jean-Philippe Mégnin nous aiguillonne sur les arêtes du couple. Lentement, très lentement, il laisse fondre les sentiments; c’est le redoux “et son spectacle de désolation”. La Voie Marion est le beau roman tragique d’une cordée amoureuse qui cède."
Vincent Roy, Le Monde des livres, 3 septembre 2010

Au commencement, c’est une histoire d’amour fraîche comme un ruisseau de printemps au moment de la fonte des neiges : elle se passe au pied du Mont-Blanc. (…) Qui a dit qu’une amie des livres et un amoureux des sommets n’étaient pas faits pour vivre ensemble? Jean-Philippe Mégnin, qui après avoir marié Marion et Pierre dans la petite église de Chamonix, au pied du Brévent, raconte la longue agonie de leur amour, qui avait pourtant commencé dans les hauteurs, là où le cœur bat plus vite et l’âme se sent plus légère. Joliment mené jusqu’à son terme funeste. La Voie Manon est un roman brûlant et doux comme une rasade de génépi. Une lecture fortement recommandée aux amoureux de la haute montagne.
Sébastien Lapaque, Le Figaro littéraire, 2 septembre 2010

"Alors certes, c’est bucolique, c’est lyrique, c’est authentique. Mais c’est avant tout dramatique."
par noreply@

"Une histoire d’amour poétique avec toute la fraîcheur de la haute-montagne. Un premier roman “qualité française” mais un roman triste."
Sébastien Lapaque, France Inter Micro fictions, 27 août 2010

Il y a des livres qu’on ne peut plus poser. Qui se lisent comme on descend un verre d’eau en juillet. Celui-là dure 158 millilitres. 158 pages. Il est guide de montagne, ça se passe à Chamonix, la suite est dedans.
Constance Chaillet, L’Officiel de la Couture et de la mode de Paris, Septembre 2010

Le livre nous raconte l’histoire de Marion, la narratrice, qui a ouvert sa librairie, bien à elle, au coeur du Chamonix de des vacances de petite fille. Elle croit à la promesse d’une vie heureuse, avec son guide de mari. Au fil du temps, pourtant, le ciel s’assombrit au dessus-des neiges éternelles. Et encore…elle ne sait pas ce que le passé lui réserve. 
Serge Dumont, Le Progrès, 22 août 2010. 

La solitude des cimes

Les neiges éternelles n’existent pas. Rien à voir avec le réchauffement climatique. Ce serait plutôt la morale de La Voie Marion, un livre que l’on pourrait qualifier de roman-torrent par opposition au roman-fleuve. Ici, c’est la force du courant qui paraît évidente. Il y est question de montagne, de ceux qui la gravissent, de ceux qui s’y retrouvent et de ceux qui s’y perdent. Et le plus étonnant, c’est que ce sont parfois les mêmes.
 Laurent Lemire, 23/08/2010, L’Agitateur d’idées

" Si l’amour est beaucoup plus que l’amour, il tend des pièges insoupçonnés. La cérébrale Marion a du mal, nonobstant sa bonne volonté, à éprouver une plénitude de vie. Songeant à Pierre, elle ne réussit pas “ à être complètement avec lui”. Apparaît en altitude une couronne de vapeur qui enserre la montagne. Elle glace les cœurs, réfrigère les esprits, égare. Avec une grande économie de moyens, Jean-Philippe Mégnin accompagne son récit, laissant le soin au lecteur de suppléer au silence."
Alfred Eibel, Valeurs actuelles, 28/07/2010

"Un roman attachant, qui nous emmène plus loin qu’une simple histoire.
Un premier roman de la rentrée littéraire 2010 à découvrir comme Gavalda en son temps."

Lydie Zannini, Libraire du Théâtre,  Bourg en Bresse

L’Amour au Sommet
Jean-Philippe Mégnin publie La Voie Marion, premier roman simple et attachant qui se déroule sur fond de montagne.
Pierre, Marion l’a même ensuite carrément épousé  "par un joli matin de juin, sous le Brévent couronné de ciel bleu, encore endimanché des derniers névés de l’hiver" . La Voie Marion raconte une histoire d’amour, pas si simple que ça et qui devrait toucher les lecteurs romantiques. Et leur donnera envie d’aller respirer le bon air montagnard, fort bienvenu pour attaquer la rentrée littéraire. 
Alexandre Fillon, Livres Hebdo, 11 juin 2010.