L’Apocalypse sans peine

Découvertes

ISBN: 978-2-84263-124-6

Genre: Nouvelles

Date de parution: 01/08/2006

Couverture : atelier Civard

Prix: 15€

Exemplaire du tirage de tête: 60€

L’Apocalypse sans peine

Découvertes

Nos petites obsessions et leurs effets, drôles ou graves, sur nos vies ordinaires : voilà le fil de ces douze nouvelles.

Résumé :

L’Homme a un rêve anxieux : l’Apocalypse sur écran plat. Être là à la fin, quand du grand Tout, tout pétera d’un coup. Au balcon et en chaussons, quand Dieu, soûlé de nous, renversera la table et fera valdinguer les couverts. Pour l’heure, il se peaufine de menus cataclysmes, bricole des sabordages à usage perso, s’annule en songe. C’est une brochette de Millenium pour petits budgets que nous offre Christine Avel dans ce recueil délectable : on y trouvera un ver géant guinéen qui se fore son petit bonhomme de chemin sous-cutané, un enfant qui joue à qui perd meurt, un archéologue atlante en Jacuzzi, une portée de babouins muée en thérapie maritale, un expert-comptable hanté par la fin des Temps, un remugle entêtant pour jeune couple en passe d’enfant. J’arrête la parade de toutes ces épopées minuscules. Gardons-nous des biscuits pour la Fin, la grande, la vraie, l’Ultime et ruons-nous sur les coupe-fins de Christine Avel.

La nouvelle" La koko kantas "est parue dans Le Monde2 du 7 août 2006.

On en parle :

Ce recuel de douze nouvelles est d’une fraîcheur bienveillante. Il raconte la vie sur un ton simple, parfois ironique et déjanté, souvent au plus près de nos manies, lubies, folies et autres phobies.
Pascale Arguedas, Calou, l’ivre de lecture 

D’un univers à l’autre, on se faufile avec délectation. Piquante et décalée, l’écrivain nous offre quelques petits bijoux rythmés qui posent un regard frais sur la fébrilité de nos existences, la finalité de nos chemins et le fonctionnement de notre monde.(…)A lire sans retenue.
Mélanie Carpentier, evene.fr.
Cliquez ici pour découvrir l’interview de Christine Avel par l’équipe d’Evene.

Nourris de références culturelles ou historiques et de tendresse humaine, les petits récits ordinaires de Christine Avel gagnent ainsi en substance sans perdre de leur croustillant. 
Julia Dubreuil, La Gazette Nord Pas de Calais. 

Arriver à varier de façon tellement significative, en restant crédible, la couleur et les tons d’un recueil à travers douze textes, en faire un ensemble cohérent tournant de très près ou d’un peu plus loin autour de l’apocalypse, est véritablement du grand art. Cela donne des moments de lecture comme on les aime : intenses et beaux. 
Caroline Lhonneux, e-novateur

Autant de taquineries abrasives et littéraires, chacune avec sa propre ambiance et son propre ton, pour nous chatouiller et nous gratouiller dans tous les sens du poil jusqu’au grand frisson. Et nous laisser tomber après. Brrr!

Valérie McGarry, Madame Figaro, 30 septembre 2006.

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