Résumé :
Les Lumières du zinc : Pour un pas d’inconduite, emboîtons le gosier à Robert Giraud, lui sait. Maître es panamophilies, docteur biberonis causa, de tout lieu où l’on trinque, taste-bitume comme il n’en est plus guère, il a, sa vie durant, caboté de rade en rade, le ballon de rouge n’étant pas captif, et vous a fignolé un parcours sur mesure.
On en parle :
Bob Giraud a toujours vécu parmi le peuple parisien. Il n’a jamais souhaité s’élever socialement et a toujours vécu librement. Jamais il n’a touché un salaire de sa vie. Il est mort entouré de nombreux amis, mais dans un grand dénuement.
Jean-Marc La Frenière
La poésie, en voie de disparition, d’authentiques titis parigots, fait toute la saveur de ce petit livre conçu comme la tournée des bars…
Le Nouvel Observateur