Les Noeuds

Découvertes

ISBN: 978-2-84263-150-5

Genre: Novella(s)

Date de parution: 01/02/2008

Nombre de pages: 96

Couverture : Lucia Di Bisceglie

Prix: 12€

Exemplaire du tirage de tête: 48€

Les Noeuds

Découvertes

L’ultime jour de la dynastie Porquet, spécialiste historique de la fabrication de cordes à nœuds. Dans un sursaut désespéré, Basile tente de retarder l’heure, pourtant inéluctable, de son propre dénouement.

Résumé :

À travers les tourments de son dernier de cordée, Basile, Les Noeuds raconte l’ultime jour de la dynastie Porquet, spécialistes historiques de la fabrication des cordes à nœuds. Dans un sursaut désespéré, Basile tente de retarder l’heure, pourtant inéluctable, de son propre dénouement.

On en parle :

Pour lire l’article sur Franz Bartelt de Jean-Louis Ezine dans le Nouvel Observateur, cliquez sur le lien ci-dessous:
Le Nouvel Observateur

Elle nous rappelle ce récit où Marcel Aymé avait imaginé que le pays était gouverné par un coiffeur dont le salon, fréquenté des politiques, était devenu le sanctuaire occulte d’où procédait tout pouvoir. Franz Bartelt compose à sa façon un ironiste habile à distraire et désennuyer les esprits spéculatifs, pour peu qu’ils se préoccupent sincèrement de l’état du monde. Il y a tout à la fois du Marcel Aymé, du La Fontaine et du Swift en lui.
Jean-Louis Ézine, Le Nouvel Observateur, avril 2008.

Ce bref roman qui met en scène Basile Porquet, dernier représentant d’une dynastie de fabricants de cordes à noeuds, est un petit chef d’oeuvre d’umour noir.
L’Echo des savanes,
avril 2008.

Franz Bartelt écrit comme d’autres vont aux champignons. Une douce errance, teintée d’humour et de mélancolie, au coeur des Ardennes. Après une trentaine d’ouvrages publiés, il n’a pas dérogé à cette ligne d’écriture.
Anne-Marie Koenig, Le Magazine littéraire, mars 2008," Itinéraires ".

À la suite de Cyril, d’Achille, et d’Émile, Basile a cru au noeud, et pourtant, aujourd’hui, le noeud est en berne. Dans ce roman bref, touchant, émouvant et juste, le héros ouvrant les yeux, après s’être laissé écraser par le poids des ancêtres, découvre le vide de son existence.
Claire Castillon, Service littéraire, février 2008.

Le texte, vif, enlevé et plein d’une drôlerie désespérée, pourrait être dit sur une scène.
Astrid Éliard, Le Figaro littéraire, février 2008.

Écrivain atypique à l’inspiration fantaisiste, styliste impeccable, Franz Bartelt est, lui aussi, infiniment respecté par la critique, et soutenu, depuis ses débuts, par les libraires, à qui il rend grâce.
Jean-Claude Perrier, Livres-Hebdo, " Avant-portrait ", février 2008.

L’auteur de quelque part – après il ne sait pas lui-même combien de publications par-ci, par-là – s’invite aux éditions Le Dilettante. Dilettante ? le mot lui va à ravir, lui qui ne fait que bosser. Traduisez : écrire. (…) A découvrir, le 1er février en librairie, deux titres (tant qu’à faire !),
La Belle Maison et Les Nœuds. Du Bartelt tout cru, tout farfelu.
Martine Laval, telerama.fr, janvier 2008.