On en parle :
Cyrille Fleishmann a beaucoup de tendresse pour ses bonshommes pittoresques, des silhouettes que Marcel Aymé n’aurait pas désavouées. Ses histoires n’ont pas de vraies fins. Elles sont des instants de vie. Juste une série de petites complications qui dessinent les caractères.
Alfred Eibel, Le Quotidien des Livres.