« Le boulevard de ceinture me procurait l’illusion d’une Corrèze à portée de bitume. (…) Derrière notre pâté d’immeubles, la gare de Reuilly, aujourd’hui mangée par les herbes, et qui ressemble à celle d’Uzerche, aux pâturages près. »
« Il faut se perdre dans l’exil pour savoir d’où l’on vient»
Le spleen de la ville, image inversée du spleen corrézien, et que Denis Tillinac retranscrit en de saisissants raccourcis.
Avec Le Tour des îles, l’auteur nous dit d’un ton détaché le commun entre la Polynésie, paysage du récit, et le Limousin.
